/// EDITO #1
SPANK.
Ceci n’est pas un magazine sado maso. Pas encore.
Sommes-nous un magazine d’ailleurs ? La personne ne pouvant pas nous lire dans ses toilettes répondra non. Je réponds qu’une simple connexion Wi Fi met la balle au centre.
Magazine, site, blog… peu importe l’AOC du média. Notre démarche ne s’inscrit pas dans l’égo, mais bien dans le communautaire. Notre génération 80’s/90’s a grandi avec pléthore de chaines musicales, de radios généralistes, Internet, les musées gratuits, les K7 et les DVD.
Ou comment consommer de la junk culture en menu maxi best of pour mieux la gerber 20 ans plus tard.
Si les 60’s/70’s imposait de choisir son camp, on ne peut être disco et rock, les décennies suivantes se sont décomplexées. Oui, j’adore écouter Britney, filer à Beaubourg, regarder Glee puis lire Dazed & Confused sur un fond de Gainsbourg, en préparant mon week end à Londres. Et parler de tout ça avec des gens que je ne connais pas sur Facebook. C’est l’art du quotidien. C’est Pop.
On veut vous entraîner avec nous dans ces univers variés, dans lesquels on peut être artistes et spectateurs, vierges et putains, hypersensibles et stoïques. C’est dans la contradiction que l’on se découvre le mieux. Articles cools ou débats houleux, nous proposons à des personnes passionnées de nous inviter dans leurs mondes, toujours illustrés. Si on ne cherche pas à imposer une vision de la vie, de la culture et de l’Art, nous en proposons des clés de lecture.
C’est notre fessée à nous.
Mais nous sommes fairplay et n’avons pas l’apanage du genre, alors si vous aimez écrire, faire de la photo, chanter, faire du bilboquet ou collectionner les figurines Kinder, nous serons ravis de mettre notre martinet à disposition. Ecrivez-nous à contact@spank-magazine.com
Une fessée vaut mieux que deux tu l’auras.
Et tu l’auras en premier si tu t’inscris à la newsletter.
Raphaël CIOFFI.